Dans le grand théâtre de la transition gabonaise, un acteur inattendu fait aujourd’hui la une : Éric Digondi. Ce patriote, visiblement peu séduit par les discours lénifiants du CTRI, a osé ce que peu de ses concitoyens ont eu le courage de faire. Il a porté plainte contre ses bourreaux du B2, ces "bénis de la République" qui, sous couvert de leur sacerdoce, s’adonnent à des pratiques dignes des pires dictatures. Non content de se limiter à ses agresseurs, il entend également étendre cette plainte à l’ancienne hiérarchie judiciaire : le Procureur de la République de l’époque et son substitut. Une plainte audacieuse, non sans risquer de se heurter aux remparts de l’impunité qui semblent si solidement installés dans notre pays.
Le contenu des accusations : torture, disparitions forcées, violations flagrantes des procédures judiciaires… Tout un cocktail de crimes que l’on pourrait croire réservés aux pages sombres des manuels d’histoire. Mais non, il semble que ces pratiques n’aient pas pris une ride. Et pourtant, les autorités de la transition, en public, s’efforcent de nous vendre l’illusion d’un respect des droits humains et d’une justice restaurée. Les mots “sanctions exemplaires” résonnent dans chaque communiqué, mais à force de les entendre, on finirait par croire que l'exemple ne s’applique qu’aux victimes.
Le CTRI : Une transition "musclée"
Sous les ors de la transition, les promesses s’effritent plus vite qu’un biscuit mouillé. La réalité est bien différente : un climat de terreur, où la justice se confond avec une farce grotesque. Prenons l’exemple du quartier Trois Manguiers, où les membres de la Garde Républicaine, visiblement mal formés à la gestion des conflits, ont décidé de régler leurs différends avec un enfant à coups de violences physiques. Quand ils sont revenus armés pour semer la terreur, pensant pouvoir régner sans partage, la population, excédée par cette série d’abus, a décidé d’inverser le rapport de force. Un "simple" citoyen a désarmé l’un des malfaiteurs en uniforme et l’arme a été remise à la Police Judiciaire. Ah, la beauté de la justice populaire : quand les citoyens prennent la loi en main, il n’y a plus de place pour les juges et procureurs à la solde du système.
La comédie judiciaire : entre slogans et impunité
Le grand mystère du Gabon, c’est l’écart abyssal entre les promesses de justice et la réalité de l’impunité qui gangrène le système judiciaire. Combien de fois avons-nous entendu les mêmes discours : "La loi sera appliquée, les coupables seront punis !" Mais, entre les mots et les actes, il y a toujours cette petite question gênante : quand ? Les "sanctions exemplaires" semblent être un concept aussi abstrait que la liberté d’expression dans un régime autocratique. En réalité, dans le Gabon des belles paroles, il y a ceux qui jugent et ceux qui sont jugés. Les premiers se souviennent de leur serment seulement quand il s’agit de protéger leurs privilèges. Les seconds, eux, se souviennent du "droit" seulement lorsqu’il s’agit de briser les vies et de détruire des innocents.
Alors, que faire ? Loin des grandes déclarations et des promesses vides, l’action d’Éric Digondi reste un geste d’une rare audace. Mais qui peut croire, honnêtement, qu’une plainte pourrait briser les chaînes de l’impunité ? La justice, dans ce pays, est une affaire de choix – entre ceux qui sont au sommet et ceux qui souffrent sous le joug de leur pouvoir. Si la transition gabonaise devait se résumer à une seule leçon, elle serait simple : les grandes promesses sont là pour apaiser les masses, mais au fond, la réalité est celle de la guerre entre ceux qui détiennent le pouvoir et ceux qui se battent pour survivre.
En attendant que le système judiciaire s’éveille s’il s’éveille un jour les Gabonais, eux, s'organisent. Les armes ne sont plus uniquement celles des militaires. Il se pourrait bien que la résistance prenne un tournant inattendu, où les citoyens, lassés de l’injustice, choisissent de désarmer les gardiens eux-mêmes. Le pays pourrait alors bien se retrouver dans une situation où les vrais gardiens de la loi ne sont plus ceux en uniforme, mais ceux qui n’ont rien à perdre.
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