La Direction générale des contre-ingérences et de sécurité militaire communément appelé B2 aurait interdit de sortir du territoire national, les directeurs généraux des régies financières. Dans une note, N°052/PN/MDN/DGCISM/DCI/ADL adressée au directeur de la police et des frontières, le chef d'antenne contre-ingérences aurait donc solliciter au premier cité l'application de cette décision.
À cet effet, plusieurs directeurs généraux et leurs différents services ont été mentionnés, ainsi pour faciliter la surveillance à l'autorité de la PAF. Il s'agirait entre autres de:
Cyr Moukaga, Directeur centrale des affaires financières du budget et des comptes publics; Lionel Marion Bissan, Directeur général des ressources humaines au budget; Étienne Nguema Assoumou, directeur général du système d'informations budgétaires; Jean Fidel Otandault, directeur général du budget et des comptes publics ; Franck Yann Koubje, directeur général des comptabilités publiques et du trésor; Régis Pamphile Emane, directeur général du patrimoine administratif; Meye M'Obiang, directeur général de l'ANUTTC et plusieurs autres.
Si les noms noms ont été communiqués, il reste à savoir le motif réel de cette décision. À ce qui semblerait, cette interdiction aurait un lien avec la Task-force initiée par les autorités de la Transition pour vérifier l'effectivité des travaux allant des montants décaissés par l'État gabonais aux entreprises adjudicataires.
Pourquoi relayer le faux!!??
J'apprécie bien vos analyses et informations c'est pour cela que je m'abonne. GN
Très bonne nouvelle, ils doivent nous dire clairement ou est l'argent des chantiers de l'État, Mr les finances du budget et des comptes publics, Mr des ressources humaines du budget, Mr système dexploitations budgétaires, et le reste des voleurs. l'anttc que des grands voleurs, la souche des expropriations des Gabonais dans leurs propres pays au détriment des étrangers c'est bien le travail de l'antfc les vrais responsables des expropriations au Gabon c'est l'anttc, les gabonais veulent construite et sortir de la location ,mais impossible, beaucoup d'endroits dans Libreville, à akanda et bikéklé restent des zones tampons appartenant au parc national D'akanda, vraiment triste quand je pense que les responsable de ces ignominies ne sont que des Gabon, vraiment désolant
Beh, pas la peine de mettre des ingrdients dans l ANUTTC mes predecesseurs ont ecrit ce qui est sur la table des débats au Gabon c est triste que la spoliation soit parrainnée par des Gabonais.
Beh, pas la peine de mettre des ingredients dans l ANUTTC mes predecesseurs ont ecrit ce qui est sur la table des débats au Gabon c est triste que la spoliation soit parrainnée par des Gabonais.
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