Sa rigueur et sa volonté de faire aboutir les projets d’infrastructures annoncés par le président de la Transition à travers un contrôle régulier de l’évolution des travaux lui valent d’être l’objet d’une vaste campagne de critiques et de dénigrement. L’actuel Directeur général du budget et des finances publiques (DGBFIP), Aurélien Mintsa Nguema, est accusé de sortir de son rôle, de marcher sur les plates bandes de certains membres du gouvernement quand il n’est pas dénigré et vilipendé du fait de son engagement sur le terrain politique.
Sa présence à l’occasion de la première sortie officielle de la Plateforme pour la reconstruction nationale (PRN) a davantage suscité lire de ses délateurs. Lesquels font feu de tout bois pour qu’il soit démis de ses fonctions Directeur général du budget et des finances publiques.
Une campagne de dénigrement ordurière qui n’affecte nullement un homme présenté par ses proches comme une personnalité brillante et intègre. Son parcours scolaire et son pédigrée professionnel témoignent de la justesse du choix porté par les plus hautes autorités en le nommant à ce poste.
De qui Aurélien Marcel Mintsa Nguema es-il le nom ?
Pur produit de l’école publique gabonaise, c’est à l’école d’application d’Oyem qu’il entame son parcours scolaire où il obtient son CEP en 1995, avec pour mérite d’être le plus jeune certifié de tout le pays cette année-là.
Il poursuit ses études au lycée d’état Richard NGUEMA BEKALE d’Oyem avec l’obtention de son baccalauréat série B . Lequel lui ouvre les portes du supérieur ou il sera ainsi régulièrement inscrit, de la première année en DEA NPTCI (Option finance publique) au département des sciences économiques de la FDSE de l’université Omar BONGO obtenant au passage : un DEUG Sciences Économiques, une licence en sciences économiques option économie publique et une maitrise en Sciences économiques option économie publique.
Vers la fin de ses études universitaires, il participe et s’admet successivement aux concours de l’école normale supérieure en section économique et sociale, à l’école nationale d’administration et de magistrature du Cameroun section impôts et à l’école nationale de la magistrature du Gabon filière financière.
Optant pour cette dernière il en sort nanti d’un diplôme d’études judiciaires et financières en 2012 non sans avoir validé son capes en SES un an plus tôt.
Poursuivant ses études, il entame une formation en expertise comptable par le diplôme de comptable supérieur de l’état français en 2014 et d’un DSGC de l’INTEC, puis décroche un certificat d’expert financier international.
Par la suite, il s’admet au concours de la très prestigieuse École Nationale d’Administration de France (ENA) devenant ainsi expert international en administration publique générale. Parallèlement, il suit une formation à Sciences Po d’où il obtient avec brio le diplôme de fin de cycle DEP section économique et financière et un master en droit éco gestion de l’université de Strasbourg, institution scientifique au sein de laquelle il est doctorant en droit public.
Pour ce qui est de son expérience professionnelle, Monsieur Aurélien Marcel MINTSA NGUEMA est rompu à la chose administrative. A la fois comme praticien et théoricien des questions d’économie, de droit, de finance publique et de sciences de gestion.
En effet, magistrat du premier grade à la cour des comptes du Gabon,il y est chef de missions des contrôles dévolus à cette haute institution.
En outre au détour de ces multiples formations internationales, il a exercé les fonctions de haut cadre dans l’administration française en pilotant entre autre le prêt garantie état dans le département du Maine et Loire. De même qu’il a servi au sein de l’union européenne dans le cadre de la Politique Agricole Commune (PAC).
L'actuel DGB a, en outre, une riche expérience en qualité d’enseignant. D’abord, dans les lycées et instituts supérieurs nationaux mais aussi à l’international par le truchement de ses enseignements à l’université de Strasbourg (finances publiques et à l’académie d’Auvergne (sciences économique, comptabilité).
ON VEUT BIEN AVOIR LE NOMBRE DE RECRUTEMENTS A LA DGBFIP DEPUIS SON ARRIVÉE ET SURTOUT DE QUELLE PROVINCE SONT ORIGINAIRES CEUX QUI ONT ÉTÉ RECRUTÉS
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