8 ans d’un long combat, de galère, d’intrigues, de coups bas pour enfin voir le bout du tunnel. Après des décisions de justice rendue en leur faveur aussi bien en France qu’au Maroc, la famille Jakhoukh a pu récupérer la société Satram/EGCA. Il y a quelques semaines, une importante rencontre a eu lieu à SATRAM Libreville. Tarek Jakhoukh en sa qualité de Président du conseil d’administration des entreprises EGCA/SATRAM et SOGABPIBS accompagné d'une délégation, a présenté au personnel, les nouveaux membres du directoire du groupe après que la bande à Mustapha Aziz a été congédiée.
Aziz Mustapha de son vrai nom Mustapha Bziouit est cet homme qui n'a jamais travaillé ou participé de près ou de loin à la construction de l'entreprise Satram EGCA S.A, même pas à hauteur de 5 FCFA, mais qui s’était pointait un beau matin après la mort de "son ami"Jakhoukh Lachen le 09 juin 2015, pour dire que ce dernier, décédé à la suite d'un cancer du pancréas en France, lui aurait signé sur son lit de mort un testament reçu par un notaire, Me Pannetier, le 05 mai 2015 à l'hôpital Brousse, enregistré sous le répertoire numéro 973 instituant Aziz Mustapha de son vrai nom Mustapha Bziouit légataire universel et excluant les héritiers du défunt de sa succession.
S’ouvrit alors une vaste bataille judiciaire entre l’usurpateur et les enfants Jakhoukh Lachen. Le samedi 3 octobre 2020, Tarick Jakhoukh, le fils aîné des quatre enfants légitimes du disparu, monta au créneau à Libreville. A l’occasion d’une conférence de presse, il va mettre à nu les contours d’une vaste supercherie dont le cerveau n’était autre qu’Aziz Mustapha. « On ne peut décemment accorder l’exéquatur d’un testament qui est encore contesté dans le pays où il a été établi ». Pourtant ce fut l’acte posé par un magistrat gabonais donnant la possibilité aux usurpateurs de prendre la tête de l’entreprise.
Le fils rappelait en outre à l’opinion publique que c’est seulement après le décès de son père que Aziz Mustapha avait entrepris des démarches visant à exiger le remboursement d’une dette contractée par Jakhoukh Lachen auprès de lui. Curieusement, rappelait, le fils Jakhoukh, le montant de 10 millions d'euros (6 milliards 558 millions de fcfa) équivalait au capital de Satram. Pire, tout au long de la procédure judiciaire, Azis Mustapha a été incapable de fournir les preuves ou traces d’un prêt aussi important.
Celui qui dit être l'héritier de son ami en déshéritant la veuve et les orphelins s'intéresse à tout ce que Satram rapporte comme avantage mais bien loin de lui la volonté de redresser cette entreprise, de redorer son blason, ses employés avec, dénonçait à cet effet, le fils Jakhoukh devant les médias.
A kand la paiement des aerries des salaires pour les travailleurs en poste qui ont supporter letreprise pendant des annees de galeres
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