Il est en panique. L’idée d’être évincé de la tête de la Compagnie minière de l’Ogooué (Comilog) a fait perdre à Leod-Paul Batolo le sommeil. Celui qui peut se vanter d’être l’ami intime du président de la Transition sait désormais que ses jours sont comptés à la tête de cette filiale du groupe français Eramet. Surtout avec la menace de la coalition syndicale de paralyser toutes les activités au sein de la boîte si des solutions ne sont pas trouvées au cahier des charges déposé sur la table de l’Administrateur directeur général.
Batolo est convaincu qu’il y a quelque chose de pas clair dans la fronde menée par les partenaires sociaux au point d’activer des contre-feux. Il a, récemment, mobilisé les cadres de l’entreprise et des médias pour faire passer le message selon lequel il n’y avait pas de crise au sein de Comilog. Mais rien n’y fit, la crise perdure. Les syndicats sont allés plus loin en révoquant, tels de vulgaires clochards, la délégation conduite par André Massard, le Directeur des relations publiques et de la communication, pour négocier avec eux.
Cette tentative de négociation a été quasiment perçue par les syndicalistes comme une insulte, vu que les personnes commises par Batolo sont arrivées sans aucune réponse favorable aux points de revendication des agents. Le fiasco était tel que les partenaires sociaux ont appelé les agents syndiqués à se préparer à entrer en grève générale illimitée.
Non sans manquer de fustiger cette façon de faire. « Ici, vous avez des pères et des mères de famille qui travaillent dur. Il est important que lorsque nous nous retrouvons, nous venions dire aux salariés que la direction générale a validé tel point, pour que tout le monde soit content », explique un des délégués syndicaux. Ce qui n’est pas le cas, à ce jour, poursuit-il. Les résolutions arrêtées par la direction générale et les partenaires sociaux lors des précédentes rencontres n’ont pas été suivies d’effets. « Le 04 septembre prochain, Comilog doit s’arrêter… », tempêtaient les partenaires sociaux.
Les agents, qui dénoncent, entre autres : les licenciements abusifs (cas des agents de la carrière) ; les sanctions arbitraires et excessives ; le plan de carrière des agents bloqué en catégorie depuis plusieurs années ; les intérims non formalisés ; les intérims et avenants au contrat du travail en violation de la convention collective ; les accusations et emprisonnements des travailleurs sans preuve formelle et sans respect de la procédure judiciaire… savent qu’à travers ce mouvement de grève se joue la carrière de plusieurs agents et l’avenir même de la société. Il est donc, pour eux, impossible de reculer sans obtenir de la direction générale des solutions à leurs revendications. Les promesses et les assurances données par Batolo ne sont plus convaincantes au regard de la fourberie et du double jeu de l’homme.
(Affaire à suivre…)
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