Le chômage au Gabon continue de battre son plein. Réunis au sein de plusieurs collectifs des milliers de chômeurs gabonais ont pris d’assaut la cour de la cathédrale Sainte Marie où ces derniers ont rencontré, ce mercredi 20 mars 2024 l’archevêque de Libreville, Monseigneur Jean Patrick Iba-Iba. Sollicité par ces nombreux sans-emplois en sa qualité de président du comité d’organisation du prochain dialogue national, l’archevêque de Libreville a reçu les leaders des différents collectifs afin de s’imprégner de leurs revendications.
« Nous sommes ici aujourd’hui pour rencontrer l’archevêques pour lui indiquer l’intérêt pour nous de plaider notre propre cause lors du prochain dialogue. Nous ne voulons pas nous faire représenter par des gens qui ne sont même pas aux faits de nos réalités. Nous souhaitons porter seuls notre voix », a indiqué Pascal Nguema, Délégué du collectif des étudiants sortis des universités et grandes écoles du Gabon (CESUGEG).
Pour une bonne coordination de leurs activités, les jeunes chômeurs du Gabon issus de plusieurs groupes se sont réunis au sin d’une coalition au sein de laquelle ils peaufinent l’organisation de l’ensemble de leurs acticités. « Dans nos bases de données nous sommes à ce jour à plus de 12.000 chômeurs et ce nombre n’est même pas la moitié de l’ensemble des personnes qui sont frappées par le manque d’emplois. Raison pour laquelle, nous implorons également les plus hautes autorités du pays pour prendre en compte notre situation afin que chacun de nous puisse avoir de l’emploi » a-t-il poursuivi.
Nous voulons guérir du cancer du chômage Pourquoi vouloir confisquer les richesses juste pour vous
Nous voulons guérir du cancer du chômage Pourquoi vouloir confisquer les richesses juste pour vous
Vraiment nos décideurs ne savent pas ce que c'est,que d'avoir passé plusieurs années de sa vie à l'UOB pour avoir un master,et ce malgré tout le désordre de l'époque de l'ancien régime et ne pas pouvoir se nourrir ou soigner son enfant au sortir de là. De ne pouvoir compter que sur DIEU et sur son travail. Il ya déjà tellement de jeunes dépressifs du fait de vivre le chômage après l'UOB. DIEU seul sait.
Il faut verser une prime mensuel pour les sans emploi jusqu'à ce qu'ils retrouvent de l'emploi ou une activité digne. Mais vous dites que les gens vivent comment ? Ils mangent quoi ? Mais quelle insensibilité ?
À quoi ça sert de faire des études dans ce pays si le même pays prend en compte les étrangers au détriment de ses propres enfants allez dans nos entreprise voir que les étrangers ne s'inquiètent pas le seule pays au monde où les gens ne vont pas en retraite pour faire la place au nouveau diplômé que voulez vous que nous fassions aller voler et comme ça le procureur sera heureux de sanctionné des voleurs non un moment le ctri c'est finalement de la connerie on nomme les parents tous les jours mais nous qui n'avons personne e' haut là-bas en fait comment nous avons seulement compté sur l'école c'est dommage
Votre adresse email ne sera pas publiée. Les champs marqués * sont obligatoires