Lancée en grande pompe, le 17 janvier dernier, dans le troisième arrondissement de la commune de Libreville, l’opération de restauration de l’ordre urbain à Libreville n’est pas allée bien loin. Deux mois après, elle est quasiment à l’arrêt, alors qu’elle visait non seulement à restaurer l’ordre urbain, mais surtout à embellir un peu plus la ville.
Un Général de Brigade à la mairie de Libreville, beaucoup avaient vu en Judes Ibrahim Rapontchombo un homme qui ne reculerait devant rien. Tout le monde a encore en mémoire le discours musclé du Général de Brigade au lendemain de sa nommination. Sauf que plus de 5 mois après sa prise de fonction à la tête de la mairie de Libreville, le bilan semble mitigé, voire en deçà des attentes.
Si le Délégué spécial est parvenu à remettre de l’ordre dans le fonctionnement interne de l’Hôtel de ville, en y imposant plus de rigueur dans les heures et arrivées de travail et la ponctualité aux postes, il est, clairement, en échec dans le combat contre l’insalubrité dans la ville. Le 17 janvier dernier, lors du lancement de l’opération de restauration de l’ordre urbain, il avait, lui-même, reconnu qu’il avait pris le temps de l’observation et de la conscientisation pour permettre aux opérateurs économiques de quitter, volontairement, les places publiques occupées anarchiquement.
Lancée en grande pompe et annoncée à grand renfort médiatique, dans le troisième arrondissement, l’opération de déguerpissement des commerçants n’est pas allée bien loin. Elle est, depuis plusieurs semaines, à l’arrêt, alors qu’elle était très attendue dans les autres arrondissements de la commune de Libreville. Conséquence, les épaves de voitures, les box de fortune, les kiosques fabriqués en matériaux de récupération continuent de joncher les trottoirs, d’entraver la circulation et d’enlaidir la ville.
A ce jour, ni le Délégué spécial ni ses adjoints ne sont capables d’expliquer aux populations les raisons de l’interruption de l’opération. Certaines sources évoquent, cependant, le fait que la fourrière de la mairie serait, au bout de quelques semaines, arrivée à saturation en plus de l’absence de moyens financiers pour continuer à mobiliser les engins et le personnel sur le terrain.
Outre l’échec de cette opération, on reproche au Général de Brigade, Judes Ibrahim Rapontchombo, d’être incapable de mener des campagnes significatives contre l’insalubrité. Plusieurs quartiers de Libreville croulent sous des tas d’immondices, sans que la première autorité de la ville tape du poing sur la table pour non seulement amener l’opérateur économique (Clean Africa) à augmenter ses capacités de travail, mais en outre à discipliner une population qui se plait à jeter les ordures partout.
Pire, la police municipale et les autres services déployés sur le terrain ne sont compétents que dans la traque des taxis, clandos et commerçants. Ces derniers semblent être totalement incompétents quand il s’agit des questions d’insalubrité.
Les marabouts et autres sorciers, vous pensez qu'ils se laisseront faire ?la majorité des commerçants au Gabon sont des étrangers,ils viennent faire leur commerces simplement ? Tant que nos autorités ne seront pas capables de travailler avec l'énergie transmise par leurs parents les choses dans notre pays resteront en l'état Nos autorités sont dans la bouteille
Vraiment beaucoup de commerce et bâtiment se trouvent au bord des trottoirs déversent les eaux usées sur la route, la mairie de LBV doit appliquer la loi et faire des exemples afin de permettre rapidement le changement des mentalités
Vraiment beaucoup de commerce et bâtiment se trouvent au bord des trottoirs déversent les eaux usées sur la route, la mairie de LBV doit appliquer la loi et faire des exemples afin de permettre rapidement le changement des mentalités
C'est regrettable que les sans papiers viennent salir nos trottoirs malgré les adjonctions de l'état comme nos autorités aiment créer pour ne rien dire et ne rien faire. normalement quant un général tonne tous doivent se mettre au Garda vous mais hélas c'est pour vous dire que nos généraux ne méritent pas leurs galons.
Il faudrait dire, qu'il y a un gros manque de volonté de la part de nos délégués,bien les grands discours,mai des actions qui ne se suivent pas,de jour on jour nous voyons nos villes rues,et Ruel croupire dans un éternel insalubrité,je croyons que cela relève d'une grande incapacité fisique morale et Montale!!
Il faut que nos autorités apprennent a faire comme le crocodile quand il mord une proie se dernier ferme les yeux Pour ne pas croiser le regard de sa victime en souffrance cela lui permet de serrer encore plus fort ses mâchoires Pour dire tout simplement que lorsque une décision est au sommet de l'état elle est réfléchie donc il y a plus lieu de reculer peut importe les désagréments que cela peut occasionner
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