Dans un Gabon où le Code du travail est censé garantir des droits essentiels aux salariés, une entreprise semble jouer à cache-cache avec la loi. Cette entreprise n’est autre que Foberd Gabon. C’en est trop pour les employés qui ont décidé, depuis le 8 novembre dernier, de déclencher une grève générale illimitée. Ce afin d’exiger, entre autres, ne uniformisation des catégories des agents, une amélioration de leurs conditions de travail, la revalorisation du traitement salarial et le respect du code du travail.
Face à la grogne, la direction de l’entreprise a brillé par une attitude arrogante et méprisante. Lors d’un face-à-face tendu entre le directeur général, M. Fonkou Mbah, et les employés grévistes ce dernier leur demandait de se dénoncer quant à la fermeture du portail. « Si celui qui a fermé le portail a des c..., qu’il se dénonce », avait-t-il déclaré. Ambiance !
Sauf que la confrontation entre les employés et la direction va s’achever à la direction générale des recherches (DGR). Suite à une plainte émise par la direction, plusieurs agents vont être interpellés et entendus par cette unité de la gendarmerie nationale. Rebondissement, la DGR va procéder par la suite à l’arrestation et à l’audition des responsables de la boîte non sans avoir remis en liberté les leaders du mouvement de grève.
Les employés de Foberd Gabon, on le sait, réclament l’amélioration de leurs conditions de travail. Mais, si l’on gratte un peu sur la surface, la situation devient encore plus choquante. Le problème ne réside pas seulement dans des salaires de misère, mais aussi dans la gestion xénophobe des ressources humaines. Dans cette entreprise, il est plus probable qu’un Camerounais soit promu à un poste à responsabilités que de voir un Gabonais gravir les échelons. Les nationaux, quant à eux, semblent condamnés à des contrats temporaires sans perspectives, à moins qu'ils n'aient, bien sûr, la chance d'être abonnés à la newsletter des « Camerounais dans les positions stratégiques ».
Dans une telle situation, il ne fait guère de doute que l'Inspection du travail est, soit en vacances prolongées, soit en plein sommeil. Un des plus grands mystères du Gabon contemporain : comment une entreprise peut-elle violer le Code du travail de façon aussi flagrante sans que l’on n’entende jamais le bruit d'une action administrative ? La réponse réside peut-être dans l’omniprésence des « tentacules » de Foberd Gabon. Les Gabonais désespérés de cette entreprise semblent convaincus que ces tentacules ont atteint, voire infecté, les plus hautes sphères de l'administration. Pourquoi s'inquiéter quand les règles semblent avoir été réécrites dans une version « adaptée » aux besoins d'une entreprise étrangère ?
Lève toi crée ton entreprise embauche qui tu veux et comme tu veux. Vous demandez le travail on vous donne vous grève après. Cecado traite bien c'est employé ? Le gabonais de nature n'a pas le travail pour te mettre a un poste de te responsabilité
Lève toi crée ton entreprise embauche qui tu veux et comme tu veux. Vous demandez le travail on vous donne vous grève après. Cecado traite bien c'est employé ? Le gabonais de nature n'a pas le travail pour te mettre a un poste de te responsabilité
La restauration de la DIGNITÉ du peuple Gabonais passe par le respect des quotas 80/20. Les grilles de salaires doivent être connues de tous les employés. Les dirigeants rebelles doivent être sanctionnés pour servir d'exemple.
FINAM Gabon en est la photocopie craché de Foberd Gabon en tous ce qui concerne la maltraitence des gabonais au détriment des Togolais. Jusqu'à lors les Togolais ne cessent de rentrer au gabon pour occuper des posrte clé. Pour preuve multiples démission des gabonais en cette année vers Cofina. Donc nous souhaitons que la DGR et l'inspection du travail puisse mener des investigations sur toutes ces entreprises violant le code de travail et marginalisant les nationaux.
Toutes les entreprises étrangères viennent au Gabon pour se faire du pognon, quelqu'en soit les moyens de leur politique. Il faut même qu'on arrête aussi les inspecteurs du travail qui étaient en charge de régler les revendications des salariés opprimés de Foberd, afin que d'autres inspecteurs ne faillissent pas à leurs obligations
Salut A notre ami qui parle de créer son entreprise et embaucher qui on veut pour justifier une attitude honteuse et un comportement irresponsable, je dis mieux vaut le faire au Cameroun au lieu de venir salir l'image d'une nation à l'étranger sous le prétexte d'être un opérateur économique. Tenez comme exemple, j'ai ma fille, Gabonaise qui travaillait dans cette espèce de société qui se voit un matin prier de ne plus reprendre son poste après plusieurs années de traville sans motif où même lettre de notification. Elle avait ensuite demander à avoir des explications y relatives, et quand ils avaient finalement décidé de la recevoir après plusieurs pressions de l,Inspection provinciale du travail, c'était pour lui proférer des menaces et autres intimidations par des propos graves et méprisants qu'elle àvait eu la sagesse d'enregistrer pendant leurs échanges, elle déposa par la suite une plainte à la gendarmerie pour outrage et voie de faits. Après convocation du responsable de cette petite société par les éléments de la gendarmerie nationale pour confrontation, que ne fût pas sa surprise de se voir convoquer à son tour par une dame magistrate qui l'a menaça de la mettre en prison pour enregistrement des échanges avec des individus qui n'ont peut-être que bonjour comme vérité dans ce qui sort de leurs bouches. Et c'est ainsi qu'il sont restés avec ses droits et même les documents administratifs prouvant qu'elle avait exercée une quelconque profession dans cette PETITE société. Dans la foulée de la punir au maxi, il avait ensuite viré sa petite sœur qui travaillait dans une autre agence dans les mêmes conditions. Des individus ne peuvent pas se prévaloir riches, puissants économiquement dans le faux, la corruption, le zèle, la zenophobie, le tribalisme et des comportements ubuesques et indécents. Ils méritent une bonne et serieuse sanction qui devrait servir de leçon aux autres esclavagiste qui ont pignon sur rue ici au Gabon. S'ils ne sont pas d'accord qu'ils aillent voir où on accepte de mépriser celui qui te fait de la richesse.
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