L' image de la campagne.
« Nous appelons auprès des autorités nationales et de la communauté internationale au respect des droits fondamentaux et de défense de Sylvia et Noureddin, à l’arrêt des maltraitances et actes de torture, et à leur libération immédiate… » c’est la substance du message diffusé sur la page Facebook officielle de Sylvia Bongo Valentin. Au lendemain de la déclaration de presse de leurs avocats, l’ex première dame et son fils ont lancé une campagne de dénonciation numérique visant à appeler à leur libération.
Non sans identifier les organismes internationaux (The Commonwealth, Organisation internationale de la Francophonie (OIF), United Nations, Human Rights Watch, La France, l'ONU, UNESCO, Union Africaine, African Union, Amnesty International, ACAT France…).
Silence radio. De manière officielle aucune de ces organisations n’a réagi aux appels de l’ex première dame et son fils. Dans l’opinion nationale c’est tout aussi l’indifférence. Les messages relayés sur la page Facebook de Sylvia ne suscitent aucune réaction des internautes bien plus préoccupés par d’autres enjeux que du sort de l’épouse du président déchu. Preuve du rejet que suscite cette femme qui tout au long de son règne avait cristallisé les colères, les haines du fait des accusations de détournement de fonds et de son gout prononcé pour le luxe et le lucre.
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