Joe-Fred Madouta laché par ses anciens camarades.
Alors qu’à la mairie de Libreville, les structures syndicales ont toujours travaillé main dans la main pour revendiquer leurs droits et de meilleures conditions de travail et de vie, sous l’ère du Général délégué spécial, c’est la division. Le 20 septembre dernier, c’est à la surprise générale qu’un groupuscule de leaders syndicaux de la coalition Fal/Sylamel a animé une conférence de presse pour non seulement vanter le bilan de Jude Ibrahim Rapontchombo à la tête de la mairie centrale, mais aussi, pour tancer les syndicalistes qui critiquent l’action du Général délégué.
On a, tout de suite, compris qu’entre Joe-Fred Madouta et ses désormais ex-camarades, c’est dorénavant le divorce. Le leader du Syndicat libre des agents de la Mairie de Libreville était absent d’une déclaration visant à soutenir le délégué spécial en proie aux critiques.
D’ailleurs, dans leur missive, ses amis ont estimé que toutes ces critiques contre Jude Ibrahim Rapontchombo ne sont que « des allégations et des discours ténébreux ». C’est dire !
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