La Société d’Énergie et d’Eau du Gabon (SEEG), pourtant si prompte à couper l’eau et l’électricité de ses abonnés en retard d’un jour, semble avoir oublié un principe fondamental : payer ses dettes. C’est en tout cas ce que révèle le drame économique et humain de l’Agence Ndougou, une entreprise gabonaise qui, après avoir loyalement servi la SEEG pendant cinq ans, se retrouve ensevelie sous une dette impayée de 800 millions de francs CFA, révèle le site en ligne Magazine Super Star.
Des factures oubliées, des vies brisées
Dans un monde idéal, les entreprises honorent leurs engagements. Mais au Gabon, la SEEG préfère jouer les bons samaritains de l’impunité, laissant une petite entreprise sombrer sans vergogne. L’Agence Ndougou n’a pas seulement perdu ses bureaux et ses infrastructures. Elle a perdu ses salariés, ses rêves et, pire encore, des vies humaines.
Car oui, l’injustice a un coût humain : un employé décédé faute de moyens pour le soutenir, et la compagne de l’entrepreneur emportée par le stress financier. Pendant ce temps, les dirigeants de la SEEG continuent de siroter des cocktails dans des bureaux climatisés.
La justice en veilleuse
Face à ce désastre, M. Mavoungou, fondateur de l’Agence Ndougou, a tenté de se tourner vers la justice. Mais entre un huissier impuissant et une SEEG sourde comme un compteur bloqué, le silence est la seule réponse obtenue. Ce silence est assourdissant, un véritable pied de nez à tous ceux qui croient encore en une économie locale juste et équitable.
La SEEG, championne de la transition… vers l’injustice
À croire que la SEEG s’est donné une nouvelle mission : devenir le symbole de l’injustice économique. Elle, qui devrait être un moteur du développement, préfère rouler sur l’asphalte des petites entreprises. Une dette de 800 millions de francs CFA ? Une paille pour certains, mais un gouffre pour ceux qui ont tout sacrifié pour faire tourner la machine.
Un Gabon de transition ou de résignation ?
La transition gabonaise se veut une promesse d’espoir et de justice. Mais que vaut cette promesse si elle ne peut redresser de telles injustices ? Si la SEEG n’est pas tenue responsable de ses actes, quelle confiance accorder aux institutions ? La SEEG doit payer, non seulement pour solder une dette financière, mais aussi pour réparer une dette morale. Car derrière les chiffres, il y a des vies sacrifiées sur l’autel de l’irresponsabilité.
Et maintenant ?
Le peuple gabonais ne peut plus se contenter d’un simple spectacle. La SEEG doit rendre des comptes, et les autorités doivent intervenir. Car si une transition se résume à de belles paroles, elle n’est qu’un écran de fumée. Et comme dirait un ancien client de la SEEG : "Ils n’éclairent plus rien, sauf notre colère."
Suis un jeune Gabonais sous traitant de la seeg depuis 15 ans , depuis 2021 mes factures ne sont toijours pas reglées et pourtant les travaux ont été excutés et finaliser dans les regles de l'art j'ai adressé des courriers mais rien à faire nous attendons peut être la justice de Dieu
La seeg un un mauvais payeur sa fait près de 4 ans qu'un bloc moteur d'un groupe électrogène nous encombre l'atelier avec tous le travail qu'on a effectué mais rien une honte c'est avec cette société qu'on va créer Libreville 2 une échec total
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Coupure de courant tout les jours le 1 du mois ils sont forts pour venir coupé le courant triste GABON
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