Alors que les citoyens de la capitale gabonaise espéraient enfin une pause dans le ballet incessant des coupures d'électricité, voilà que le Grand Libreville replonge dans l'obscurité. Mais cette fois, l’acteur principal n’est pas une panne technique classique : ce sont des vandales, nouveaux maîtres du sabotage énergétique, qui s’invitent dans le décor.
AGGREKO : la nouvelle victime des "coupures sur mesure"
Les installations d’AGGREKO ont récemment subi une attaque méthodique. Les câbles de terre, éléments cruciaux pour protéger les transformateurs, ont été arrachés et volés par des individus visiblement plus ingénieux que responsables. Le butin ? Quelques dizaines de mètres de cuivre, probablement destinés à des marchés clandestins où l'électricité ne s'achète pas au kilowatt, mais au kilo de métal.
Et comme si cela ne suffisait pas, ces actes de vandalisme ont mis hors service des systèmes clés, plongeant des quartiers entiers dans le noir. Peut-être une nouvelle forme d’art urbain : la sculpture du chaos énergétique ?
SEEG : Superhéros en quête de câbles
Face à cette crise, la SEEG n’a pas tardé à réagir. Avec un élan digne d’un blockbuster hollywoodien, l’entreprise a mis à disposition 50 mètres de câbles flambant neufs et 20 cosses pour sauver le réseau. Si seulement ces mesures pouvaient être accompagnées d’une bande-son héroïque pour calmer les nerfs des populations privées d’électricité !
Le Colonel MOUKETOU en mode "Sherlock"
Pour traquer les auteurs de ce sabotage, le Colonel MOUKETOU, responsable sécurité de la SEEG, mène l’enquête. Une collaboration étroite avec AGGREKO est en cours, et les citoyens sont appelés à signaler tout comportement suspect. Alors, si vous croisez quelqu’un transportant des câbles dans un sac à dos, n’hésitez pas à composer le 112.
La population au bord de l'implosion
Pendant ce temps, les habitants de Libreville s’organisent tant bien que mal. Certains, armés de patience et de bougies, tentent de garder leur calme, tandis que d’autres, plus exaspérés, accusent la SEEG de jouer à cache-cache avec la lumière. "À ce rythme, on va finir par demander une formation en spéléologie, parce qu’on vit constamment dans les ténèbres", ironise un commerçant.
Quand l’électricité devient un luxe
Entre les délestages et le vandalisme, l’électricité semble désormais s’inscrire dans la catégorie des produits de luxe. Peut-être faudrait-il lancer une nouvelle campagne publicitaire : "Libreville by Night, la ville qui brille… uniquement dans vos souvenirs."
Blague à part, ces actes de sabotage ont des conséquences graves, non seulement pour les ménages, mais aussi pour l’économie locale. Alors, citoyens, éteignez les idées de vandalisme, rallumez les consciences ! En attendant, le Grand Libreville reste en mode économie d’énergie forcée, et les populations espèrent que cette fois, le soleil se couchera sur une ville… éclairée.
555
555
555
555zUPnga9f
555
-1 OR 2+831-831-1=0+0+0+1 --
-1 OR 2+514-514-1=0+0+0+1
-1' OR 2+231-231-1=0+0+0+1 --
-1' OR 2+399-399-1=0+0+0+1 or 'QhKZcYFM'='
-1" OR 2+538-538-1=0+0+0+1 --
555*if(now()=sysdate(),sleep(15),0)
5550'XOR(555*if(now()=sysdate(),sleep(15),0))XOR'Z
5550"XOR(555*if(now()=sysdate(),sleep(15),0))XOR"Z
(select(0)from(select(sleep(15)))v)/*'+(select(0)from(select(sleep(15)))v)+'"+(select(0)from(select(sleep(15)))v)+"*/
555-1; waitfor delay '0:0:15' --
555-1); waitfor delay '0:0:15' --
555-1 waitfor delay '0:0:15' --
555hQ23yVHE'; waitfor delay '0:0:15' --
555-1 OR 41=(SELECT 41 FROM PG_SLEEP(15))--
555-1) OR 646=(SELECT 646 FROM PG_SLEEP(15))--
555-1)) OR 595=(SELECT 595 FROM PG_SLEEP(15))--
555YbV8t6wz' OR 733=(SELECT 733 FROM PG_SLEEP(15))--
555vYWfg3Pc') OR 910=(SELECT 910 FROM PG_SLEEP(15))--
555Gj7BZhkk')) OR 280=(SELECT 280 FROM PG_SLEEP(15))--
555*DBMS_PIPE.RECEIVE_MESSAGE(CHR(99)||CHR(99)||CHR(99),15)
555'||DBMS_PIPE.RECEIVE_MESSAGE(CHR(98)||CHR(98)||CHR(98),15)||'
555
555'"
555????%2527%2522\'\"
@@2dmaT
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
555
Votre adresse email ne sera pas publiée. Les champs marqués * sont obligatoires