A l’initiative de la coordination du 5 e arrondissement du Rassemblement pour la patrie et la modernité (RPM), Alexandre Barro Chambrier et plusieurs militants de cette formation politique ont entrepris, le samedi 4 mars dernier, une opération de porte à porte dans cette circonscription de la ville de Libreville. Débutée autour de 10 heures, la campagne de proximité est partie de l’échangeur d’IAI à la zone dite de la Cité Perdue, non loin du carrefour Kanté, avec des haltes dans certaines familles et chez les notables.
Le point d’orgue de cette descente sur le terrain a été l’organisation, à la Cité Perdue, d’une grande causerie. Le tout dans une ambiance conviviale et chaleureuse. Il faut noter que dans leur grande majorité, les populations visitées ont été agréablement surprises de voir débarquer chez eux, dans la plus grande simplicité, le président du RPM Alexandre Barro Chambrier.
Lors des échanges avec le public pendant le meeting, le leader politique et probable candidat à la prochaine élection présidentielle a tenu à réaffirmer son engagement à se battre pour parvenir à l’alternance au sommet de l’Etat. Il n’a pas manqué, au passage, d’expliquer les raisons pour lesquelles, sa formation politique et lui ont claqué la porte de la dernière concertation politique organisée par le régime d’Ali Bongo. Il était hors de question pour le RPM de cautionner les arrangements d’arrière boutique qui consolident un régime honni et vomi des populations.
Parmi les "marcheurs" qui accompagnaient Barro Chambrier, on a pu remarquer la présence, entre autres, de Norbert Epandja, un artiste et acteur politique très engagé dans l'opposition, ainsi que Judes Bertrand Mekame Mba, ex-soutien de Jean Ping. Habitant du 5e arrondissement, le Vice-président de REAGIR, Michel Ongoundou Loundah, a été l’une des personnalités politiques visitées par Barro Chambrier et sa délégation. Le vénérable, Jean-Christophe Owono Nguema de l'Union Nationale, qui était de passage dans le quartier, a échangé pendant de longues minutes avec ses deux amis politiques sur la situation du pays à cinq mois de l’élection présidentielle. Ça promet…
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