L’information a été donnée, hier, en début d’après-midi par nos confrères de l’Agence gabonaise de presse (AGP). Trois détenus ont teinté de se faire la malle en usant d’une arme à feu et de machette. D’après l’AGP, les trois prisonniers qui étaient attendus par un véhicule Toyota Prado de couleur noire ont mis en joue les gardes en fraction.
Malheureusement pour eux, après plusieurs tirs de sommation, ils n’ont pu recharger leur arme à temps. Un concours de circonstances favorable pour les agents du pénitencier qui ont pu rapidement procéder aux arrestations, indique à nouveau l’AGP. Pour l’heure en attendant une communication officielle du ministre de la Justice sur cette affaire, plusieurs interrogations hantent les esprits : comment des détenus ont pu rentrer en possession d’une arme à feu ? Dans quelles circonstances ces derniers ont pu franchir les différentes barrières de sécurité ? Ont-ils bénéficié de complicités ? Cette prison située au coeur de la ville, offre-t-elle encore toutes les garanties de sécurité ?
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