IMG-LOGO
Accueil Article Plateau technique désuet, salaires impayés : la Polyclinique Biyoghe dans un coma profond
Société

Plateau technique désuet, salaires impayés : la Polyclinique Biyoghe dans un coma profond

IMG La structure sanitaire au bord du gouffre.

Créée, il y a plus de trois décennies, la Polyclinique Biyoghe faisait la fierté dans le milieu médical au Gabon. Ses installations, la compétence et le sérieux de ses équipes, la qualité de ses services avaient fait de la Polyclinique Biyoghe une référence.

 

Mais tout cela relève d’un passé lointain. Tant ces cinq dernières années, l’établissement n’a cessé de se détériorer. Voilà deux ans que l’établissement médical est incapable de payer correctement ses agents. D’après les agents rencontrés par notre rédaction, ils accusent, pour certains,  plusieurs mois de salaires impayés.

 

La direction générale ne donne pas l’impression de s’en préoccuper au point que la démotivation a fini par gagner les esprits. Une situation désolante aggravée par la vétusté du plateau technique. Comment en est-on arrivé là ? Il faut dire qu’après la mort du fondateur de la structure, Dr. Philippe Biyoghe, la gestion de la structure avait été confiée à des proches de la famille. Ont-ils bien géré ce patrimoine ?

La réponse semble désormais évidente au regard de ce qu’est devenu l’établissement.

Partagez:

2 Commentaires

Bonjour, C'est vraiment dommage, J y ai travaillé pendant presque 10 ans. Il faut que les autorités essaient de réconcilier d'un côté la famille et de l'autre côté la famille et le personnel pour sauver cette structure et pour redonner l'ancienne bonne image du secteur de la santé au Gabon. La Clinique Biyoghe était parmis les premières cliniques qui avait des bon médecins, du bon matériels dans son laboratoire, dans sa radiographie, dans son bloc opératoire, dans sa cuisine, dans ses chambres, dans son service de pédiatrie... Que les autorités prennent cette situation en mains et tenter d'écoute tous les parties en conflit ( les héritiers d'un côté et de l'autre côté le personnel


Postez un commentaire

Votre adresse email ne sera pas publiée. Les champs marqués * sont obligatoires