Aurélien Marcel Mintsa Mi Nguema est, ces derniers jours, ouvertement attaqué dans la presse. Il est fait grief à l’actuel directeur général de la direction générale du budget et des finances publiques ( DGBFIP) d’avoir, lors d’une cérémonie publique liée à la célébration de la fête du Travail, promis aux agents une augmentation des primes. Le tout sans autorisation préalable de sa tutelle.
Une vaste et grossière manipulation qui n’a pas manqué de faire réagir l’entourage du DGBFIP. D’abord, pour faire observer que le passage extrait de cette vidéo a été volontairement sorti de son contexte. D’autant que l’intervention du DGBFIP visait à répondre aux préoccupations des responsables syndicaux et du secrétaire général, lesquels dans leurs discours relevaient des points de revendications qui, jusqu’ici, n’ont pas trouvé des points de satisfaction.
Si le DGBFIP a, pour sa part, reconnu que certaines choses n’avaient pas été faites notamment la régularisation des situations administratives et l’augmentation des primes, il ne s’est nullement engagé à procéder à la revalorisation desdites primes de manière cavalière et unilatérale. Extraire un passage d’un discours pour en faire un élément de critique à l’encontre d’Aurélien Marcel Mintsa Mi Nguema relève de la « manipulation » dénoncent plusieurs de ses proches.
Non sans rappeler que le DGBFIP a signé en date du 14 mai 2024 l’ordonnance de paiement portant fonctionnement de la cellule d’administration du syndicat des régies financières. Ce qui témoigne que le DGBFIP n’est nullement opposé à cet organe chargé de statuer sur la problématique des primes. Cette honteuse polémique n’a donc pas lieu d’être, à moins qu’elle obéisse à un agenda caché.
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