Les cadres du PDG seraient-ils victimes de complot ?
Le ministère de l’Intérieur a décidé de l’annulation et de la reprise du scrutin au 1er arrondissement de la commune de Ntoum. Une décision qui découle des vives tensions qui ont émaillé le déroulement du scrutin le samedi dernier. Quels sont les responsables ? Comment en est-on arrivé là dans une localité pourtant connue pour sa tranquillité ?
Certaines personnes, ayant recquis l'anonymat, accusent ouvertement les responsables de l'ex parti au pouvoir qui ont rejoint une autre écurie politique d'être les responsable de cette chienlit. Ces derniers seraient les auteurs d’un vaste complot visant à semer le chaos, mais surtout à barrer la route à Camélia Ntoutoume Leclerq. L’actuel ministre d’Etat en charge de l’Education nationale, candidate dans la dite circonscription électorale, était la personne à abattre. Ce, en usant de tous les moyens.
D’Okolassi à Nkoltang, durant 4 jours, des jeunes auraient été recrutés pour poser des actes de violence, d’intimidation en plus de faire courir les rumeurs de fraudes avant même le début de l’élection. Fort de ce contexte de chienlit, l’élection a été annulée en attendant sa reprise.
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