Mise sous pression par certains clients, la Direction générale de la Société gabonaise des services (SGS) a décidé de payer ses employés selon le lieu d’affectation. Une injustice qui n’est pas sans conséquence sur le climat social.
Des tensions et encore des tensions à la Société gabonaise de services (SGS). Alors que les revendications liées aux licenciements abusifs sont toujours d’actualité, les agents achèvent pratiquement deux mois (mai et juin) sans percevoir leur salaire. Une situation inacceptable pour les agents qui annoncent, dans les semaines à venir, un mouvement de grève, pour exiger, dans l’immédiat, le paiement de leurs émoluments.
Accusé d’être le principal responsable de cette crise, le Directeur général, Jérôme Andjoua, a décidé, de manière unilatérale, de payer dorénavant les salaires à la tête du client et surtout en fonction du poste d’affectation de l’agent. Réponse du berger à la bergère, certains agents ont décidé de ne plus se rendre à leur poste de travail. Une situation plus qu’embarrassante pour de nombreux clients. Certains clients, réguliers dans leurs paiements, ont, immédiatement, saisi la Direction de l’entreprise, pour exprimer leur mécontentement.
« Actuellement, il n’y a que les agents en poste dans les agences BGFI et l’ambassade de France qui sont bien traités. Quant aux autres, ils sont abandonnés à leur triste sort », s’indigne un agent.
Pour se dédouaner de ces retards, l’entreprise fait allusion à la crise économique et à la résiliation de plusieurs contrats. Par ailleurs, elle accuse certains de ses clients d’être souvent en retard dans le paiement, témoigne un autre agent.
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