|Par Wilfrid Kombe Nziengui
Il se veut pragmatique dans son combat contre l'impérialisme occidental au Gabon et en Afrique dans une mesure plus large. Sa détermination à œuvrer pour un Gabon prospère et une Afrique hors de l'emprise de l'impérialisme occidental ne lui donne pas d'autre choix que de tenir ferme.
Pour atteindre son but et marquer positivement l'histoire, Marc Ulrich Malekou Ma-Malekou, Président- fondateur du mouvement Panafricain « Osons pour l'Afrique » a décidé d'affronter le « mal », en s'investissant sur le terrain politique et social. Ainsi, pour gravir les marches qui mènent à la libération totale des peuples bâillonnés, à l'exemple du peuple gabonais tenu captif par le régime totalitaire Bongo/PDG au pouvoir depuis près de 60 ans et de l’impérialisme français.
C'est dans ce sens que, lors de sa dernière sortie politique, tenue à Libreville, l'opposant farouche au régime Bongo/PDG et candidat à la présidentielle de 2023 dans notre pays, a procédé à l'investiture d'un de ses hommes de main, Gérald Dethy, qu'il a été élevé au rang d'ambassadeur conquérant pour la province de l'Ogooué-Maritime à Port-Gentil.
Ce choix, qui semble stratégique pour le Président d’« Osons pour l'Afrique », se fie, selon lui, à la bravoure, à la détermination et, dans une moindre mesure, à l'esprit conquérant de ce Port-Gentillais connu pour être une figure de proue dans la défense des intérêts des peuples opprimés. Renvoyé à l'exercice de ses fonctions, Gérald Dethy a donc pour mission de veiller et de contribuer à l'application et à la réalisation des douze axes clés du projet politique du mouvement Panafricain « Osons pour l'Afrique » dont il a brièvement présenté les grandes lignes.
« Les postures courageusement prises en faveur de la libération de l’Afrique du joug impérialiste et son cortège de maux que sont notamment : l’enlisement des dictatures, les coups d’Etat électoraux, la gabegie, la déliquescence des indicateurs socio-économiques à l’image de l’école et de l’hôpital publics, méritent tout notre respect », a indiqué Marc Ulrich Malekou Ma-Malekou. Avant de poursuivre : « C’est à nous de prendre conscience de notre responsabilité à penser notre avenir. Notre avenir n’incombe nullement à l’Occident et que, tant que nous n’activerons pas la flamme de l’éveil des consciences qui nous permettra de passer à l’action, notre avenir continuera à s’écrire en pointillé ».
Reconnaissant les efforts de certains leaders africains, Ulrich Marc Malekou Ma-Malekou a salué l'élan patriotique impulsé par le Président de la République malienne Assimi Goïta. Lequel vise à rendre le Mali aux Maliens, en le sortant de l’encombrant giron de la Françafrique, moteur du sous-développement du continent noir.
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